Voici un tabouret de bar qui s'adresse à une clientèle restreinte:
Oldskooler car il faut apprécier les bonnes selles cuir d'antan comme ce modèle.
Equilibriste car vous noterez la base sphérique qui , même avec un pied à terre, va mettre votre sens de l'équilibre en éveil.
Fortuné car, à environ 450€ la pièce, mieux vaut prévoir un budget pour la rénovation de son coin bar.
Ce mobilier fera bouger les invités assez rapidement vers la salle à manger ou le canapé car, si leur séant peut se faire au cuir de la selle après quelques invitations, il est certain qu' après 3 verres l'équilibre doit commencer à manquer...

Rien de nouveau à propos d'un vélo pliant : Il en existe un dans presque toute les gammes des grands constructeurs de vélos et de voitures sans compter une demi-douzaine de spécialistes des vélos à sortir de son coffre, à porter dans les transports en commun ou à emmener à l'autre bout de la planête - plânète pour les lorrains .
Celui-ci, outre le fait qu'il est disponible en 10 couleurs, est livré dans sa malle personalisée en bois couvert de cuir, dans un assortiment de 51 couleurs et une vingtaine de choix de parure intérieure... De quoi assortir ce bijou à sa voiture ou sa tenue préférée de jogging... Pour une idée des multiples combinaisons, essayez ceci

Voilà un karma industriel qui me plait même si je suis désolé pour les milliers de consommateurs qui n'ont pas fait, en fin de compte, le meilleur achat...
Best Buy, "le meilleur achat" en français, est une des 3 énormes chaines de magasins d'électronique et electro-ménager des Etats-Unis, très connu pour ses coups foireux envers ses employés, ses clients et ses fournisseurs (trop d'exemples pour détailler aujourd'hui). Best Buy a donc décidé pour le second Noël de suite d'innonder le marché avec des cadres photo numériques à prix défiant toute concurrence donc afin de garder une marge confortable - surtout pour les US -, cette compagnie a décidé de contourner ses fournisseurs et de vendre l'article sous leur marque maison en allant chercher le produit chez un fabricateur - entreprise qui une semaine monte des cadres photo puis l'autre des lecteurs MP3 avec de la main d'oeuvre à 2 cents de l'heure- en dépit qu'un contrôle de qualité et d'une grande valeur dans le design ou la finition...
Le design ne devait pas être trop mauvais - ou les Américains ont des goût de chiotte - car cela s'est bien vendu, la finition ne devait pas être lamentable puisque les retours le 26 décembre étaient minimes par contre, quelques jours plus tard, les problèmes se sont précisés: La plupart des cadres ont été chargé avec un programme interne contenant un virus qui a commencé à se propager sur les PC des clients soit par le cable fourni soit par les clés USB permettant le transfert des photos... Un simple contrôle de qualité avant et/ou après le chargement aurait détecté cela avant l'envoi des produits... Pour cela, il faut avoir des structures, des méthodes et une expérience dans la conception des produits et le suivi des "prestataires de service" ce qui est le job des fabricants: A chacun son métier, à chaque chose son juste prix.
Vous imaginez l'embarras des acheteurs lorsque Tante Irma ou Oncle Gilbert, qui ont déja bien du mal avec leurs PC et leurs lecteurs MP3, offerts l'année précédente, après avoir péniblement suivi les instructions du cadre, les rappellent en leur racontant que leur cadeau, joyaux du 21è siècle, vient de véroller leur disque dur ou que leur antivirus les prévient que Armaggeddon est pour demain... A vouloir vendre tout en dessous de son prix réel, quelqu'un doit en payer le coût et cett fois-ci, le coût en SAV/retour va leur manger 3 X la marge... Un sacré coup de pompe dans l'arrière-train de ceux qui ont pris un raccourci financier et un coup de massue pour leur marque propre, Insignia, que les gens ne pourront plus encadrer ...pour ainsi dire...

Le Dakar ne sera pas cette année... C'est à dire que pour la première fois, il ne sera pas du tout ! Sa première mort a été, il y a 22 ans, jour pour, lorsque son créateur a péri avec 4 autres personnes dont Daniel Balavoine dans une tourmente de sable près de la légendaire ville de Gao... L'homme-orchestre qui savait pousser les concurrents jusqu'au bout de leur galère mais pas trop était aussi celui qui savait vendre la magie de ce test humain et mécanique: Le Paris-Dakar, en veuve résolue, a perdu tour à tour, et dans le désordre, son nom en devenant "Dakar", juste la destination, oubliant Paris et sa farandole de 2 jours à travers la France, sa date mythique et festive du Jour de l'An et son concept à l'heure des communications planétaires et du GPS... Cette année, la course ne passera pas car toutes les avancées technologiques n'ont pas sues augmenter la sécurité des concurrents et rester une fête au long de son trajet: L'aventure qui faisait tant rêver a dû se résoudre à une dernière concession... Le rêve est résolument fini... Nous le savions tous un peu depuis le 17 janvier 86...